photo Chargé / Chargée de communication digitale

Chargé / Chargée de communication digitale

Emploi Autres services aux entreprises

Lourdes, 65, Hautes-Pyrénées, Occitanie

N'PY Nouvelles Pyrénées, filiale du groupe Compagnie de Pyrénées, est la marque leader du tourisme pyrénéen qui regroupe 8 domaines de montagne et regroupe plus de 50% de la fréquentation du massif en hiver. Depuis 2005, la marque ne cesse d'innover à l'instar de la mise sur le marché de la carte No Souci Pyrénées qui regroupe aujourd'hui plus de 100 000 détenteurs et en fait le plus grand club de ski du monde. N'PY est aussi une agence de voyages en ligne qui propose à ses clients (B2B ou B2C) tout le nécessaire pour composer leur séjour au ski ou plus largement à la montagne : forfaits de ski ou pass activités, hébergements, location de matériel, cours de ski. N'PY est aussi un acteur du tourisme pyrénéen important en été : la marque fédère 2 sites majeurs du massif : le Pic du Midi et le Pont d'Espagne à Cauterets, mais également 5 bike parks et une myriade d'activités estivales. Vous souhaitez travailler au pied des montagnes, dans un cadre verdoyant où se mêlent les biches, les écureuils et... les collègues de travail ? Vous êtes au bon endroit ! Positionnée à l'entrée de Lourdes, N'PY est à seulement 20 minutes de Tarbes et 40 minutes de Pau en voiture. Lourdes est[...]

photo Exposition à l'Office de Tourisme : LOÏC PLOTEAU

Exposition à l'Office de Tourisme : LOÏC PLOTEAU

Manifestation culturelle

Bagnères-de-Bigorre 65200

Du 13/09/2021 au 11/10/2021

A l’image de la rouille et de son action corrosive, les sculptures de Loïc Ploteau semblent dresser le portrait métaphorique et polymorphe de l’évolution de l’humanité. D’abord, des objets dit « utilitaires » élevés au rang d’œuvres car exposés sur des socles nous ramènent aux confins de la Préhistoire : cette époque où l’homme naît, se dissociant du règne animal par sa capacité à fabriquer et utiliser les objets de son invention. La suite du travail de Loïc Ploteau illustre cette « évolution ». Les objets exposés, à défaut d’appartenir à l’âge du fer, acquièrent (malgré eux) une dimension archéologique dans la mesure où ils ne sont plus utilisés à l’ère du numérique et de la surconsommation. Le paradoxe est donc total entre un mode de vie, jadis plus proche de la nature, dont on retrouve encore les traces bien des années plus tard, et une société de consommation où chaque objet semble condamné à une obsolescence plus ou moins programmée. Mais peut-on encore parler d’évolution dans un monde au sein duquel l’Homme, figure même de l’adaptabilité, peine désormais à se retrouver dans un mode de vie où « tout va trop vite » ? Avec ironie, Loïc Ploteau nous propose une réponse[...]